- i'm your father -
ϟ HIBOUX : 276
| Sujet: (M/LIBRE) JE SAIS PAS TROP Lun 9 Fév - 16:52 | |
| je poste juste histoire de poster, et de faire vérifier le scénario par chang, itout. et puis, cho, neville, et tout ceux qui veulent un lien, suffit de le rédiger et de l'envoyer. hugo desroses
hugo a été élevé selon les moeurs sang-purs français. s'il a protégé sa sœur lilo de cette vie-là, personne ne l'a fait pour lui. capricieux, hautain, indifférent, impassible, constamment amusé, tout est un jeu et tout possède une valeur, plus ou moins élevée. ≡ lilo. c'est son petit morceau de bonheur alors qu'on le fait sciemment entrer en guerre : il sait que sa soeur est à beauxbâtons et n'en sortira pas avant plusieurs années, ce qui le fait doucement sourire : elle ne connaîtra pas voldemort, ou du moins, pas le mélange explosif de cet ignoble dictateur et de ces résistants stupides. ≡ il avait deux meilleures amies, qu'il connaissait depuis leur plus jeune âge. camille, une rebelle incapable de tenir une place constamment sarcastique et mafalda, une jeune métamorphomage d'un courage assez invraisemblable et d'un franc parlé plutôt amusant. ces deux mômes le firent tourner en bourrique dès le jardin d'enfant et il ne les lâcha jamais. ≡ sauf qu'ici, jamais a une fin et elle est plutôt triste. en effet, mafalda a décidé de quitter la france pour suivre neville, seamus et ginny alors qu'hugo le lui avait interdit. elle ne l'a pas écouté et il lui en veut beaucoup pour ça. leur dernière dispute fut froide, silencieuse, presque trop douce pour les choses qui se brisèrent ce jour-là. ≡ mafalda fut sa première petite-amie et c'est exactement trois ans après leur premier baiser qu'il décida de se faire tatouer une liste de quatre chiffres. mafalda choisit un et sept, camille se contente de sept et huit. depuis, il porte ça comme souvenir. ≡ durant la première année qui suivit le départ des résistants, le lien entre camel et hugo se fragilisa, puisque les deux leaders n'avaient plus la weasley pour les calmer, et ils finirent pas se disputer, encore et encore, jusqu'à ce que camille attrape une maladie plutôt rare et n'en meurt assez prématurément. en réalité, et pendant son séjour à l'hôpital magique de paris, elle lui avoua qu'elle le savait depuis l'arrivée des résistants en france mais ne voulait inquiéter personne. ≡ hugo se mit alors à abuser de la bouteille alors que son père prenait contact avec l'extérieur. sa mère, en bonne épouse, ne montra rien à son mari ou à ses enfants mais elle fut plutôt inquiète de ce contact. hugo le remarqua bien assez tôt. quoi qu'on en dise, le môme est extrêmement observateur. ≡ il échangea des lettres avec mafalda pendant près d'un an avant que tout ne s'arrête. il ne répondit plus et elle n'insista pas. ≡ quand son père lui annonça qu'ils partaient en angleterre, il se mit de suite en tête de la récupérer, de l'emporter avec lui, d'oublier cette foutue guerre et pleurer camille à deux. ce qu'il ne sait pas, c'est que mafalda s'est construite bien des raisons pour ne pas quitter les lieux. ≡ quand hugo se retrouva en angleterre, il réussit à retrouver la résistance. depuis, il attend simplement le bon jour pour débarquer et embarquer sa meilleure amie. mais comme toujours, rien ne va être aussi simple que prévu. | | |
✿ lever le voile sur le futurÂGE : vingt-deux ans. PROFESSION : poète d'un soir, écrivain d'une nuit, parfois même les deux à la fois, il écrit. il écrit des articles pour la gazette française puis pour la gazette anglaise. des mots, il en a des tas, il les utilise souvent dans le vent, pour le plaisir de les utiliser. mais il y a des passions qui s'estompent comme de la poudre sous un coup de vent. et le voilà sans inspiration. desséchés, ses mots parfaits. ANCIENNE MAISON : il a étudié à beauxbâtons. NATURE DU SANG : pur, il fait partie d'une des grandes familles françaises. BAGUETTE : au choix. MATRIMONIAL : célibataire, quelque peu frivole, nostalgique d'un amour passé, en mal d'un amour futur. grand romantique dans l'âme, il attend la bonne, il la cherche, dans les yeux de n'importe quelle créature. PATRONUS : un lion. EPOUVANTARD : l'épouvantard qu'il possède, qui est sa plus grande peur mais aussi la chose dont il a le plus honte, est un clown en porcelaine qui se balance doucement sur une chaise en osier. le bruit grinçant a le don de l'irriter, mais le visage qui se tourne lentement vers lui provoque immédiatement une crise de panique, plus ou moins sévère suivant la situation. CICATRICES : il a un tatouage sur la nuque, une sorte de code très discret, dont les chiffres ont été choisis par mafalda, camille et lui durant une froide nuit d'hiver. c'est une promesse gravée à même la peau. c'est une cicatrice qui brûle encore après toutes ces années. AVIS SUR LE GOUVERNEMENT ACTUEL : Hugo, il ne sait pas. Il fait partie des pseudo-lâches. Il suit le mouvement, sans se soucier des non-dits qui caressent encore et toujours le chemin. Sa mère se dit pro-sang-pur mais elle est surtout pro-argent. Son père se dit pro-Voldemort, mais il est surtout pro-pouvoir. Hugo, lui, il n’a pas de goût. Il l’a perdu, comme certains perdent le sommeil. C’est bête mais c’est comme ça. Depuis, il est ce qu’on lui dit d’être. Parce que c’est mieux, peut-être même que c’est ça son goût, c’est cette odeur âcre, c’est ce goût amer, c’est cette guerre. Mais en réalité, Hugo, c’est un résistant refoulé. Il a juste besoin que quelqu’un lui rappelle qui il est. MEILLEURE AMIE PERDUE — mafalda weasley & hugo desroses. / - Spoiler:
Hugo et Mafalda, c’est un goût amer sur les lèvres, c’est une caresse en pleine tempête, c’est un souvenir fugace dans une pensine. Hugo et Mafalda, pourtant, ça a duré longtemps. Dès le jardin d’enfant, les mômes étaient fourrés ensemble. Desroses et Weasley, la paire s’est vite formée, si vite que dès l’âge requis, c’est ensemble qu’ils allèrent chercher leurs fournitures scolaires. Hugo et Mafalda, c’est un amour enfantin, l’idéal de l’amitié, c’est un passé réchauffé qu’ils se sont repassés mille fois en tête depuis qu’ils se sont quittés. Ils ont été ensemble un an, deux ans, peut-être même trois, à s’embrasser, à se promettre une éternité qu’ils ne pouvaient s’offrir. Offrant leurs belles années à l’autre sans en attendre autant. Personne ne se souvient encore comme ça a commencé, personne n’a jamais su comme ça s’est réellement terminé. Tout ce dont ils se rappellent, peut-être, c’est la douceur avec laquelle les choses se sont fracassées. Un coup de vent et tout était terminé, salement amoché, mais ça s’est passé sans un cri, sans une larme. Juste comme ça. Puis Mafalda est partie au bras de Neville, main dans la main avec Ginny, chez les résistants. Et Hugo n’a pas suivi, incapable de se battre pour une cause en laquelle il ne croyait pas. Le temps a passé, depuis. Trois ans, environ, qu’ils sont loin l’un de l’autre, à s’envoyer une lettre ou deux parfois. Il ment, Weasley ment. Ça va, ça va, ils se le répètent comme un mantra. Mais Hugo a perdu Camille, le dernier maillon de la chaîne, il l’a perdu sans rien pouvoir faire. Et comment il aurait pu l’annoncer à Mafalda dans une lettre ? Les contacts se sont faits rares puis sont morts, comme la jolie brune qu’il aimait appeler Camel. Depuis, il erre. Il écrit et ne trouve pas l’inspiration. Il boit mais ne se brûle pas la gorge. Il a perdu le goût, le bon goût ou le goût des choses saines. Et il ne sait toujours pas comment l'annoncer à Mafalda, la récupérer, la ramener. Le cœur à ses raisons que la raison ignore. Et s’il ne l’aime plus comme il a pu l’aimé autrefois, elle reste une partie de lui, peut-être même la plus importante depuis que Camille s'en est allée. Il faut qu’elle rentre en France avec lui. Coûte que coûte.
+ neville ; négatif. cho ; semi-positif. qui veut. the big pumpkin (c) 2015 |
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